Compagnie Black Dogg Production
Mot de la présidente
La culture est un enjeu majeur pour nos sociétés. Elle crée du lien entre les gens, éduque, crée des emplois, directs et indirects. Elle participe à la vie de nos territoires. Quand on pense « culture », il nous vient immédiatement à l’esprit les grands équipements culturels (salle de spectacle, musées, opéras…) mais la culture est surtout installée sur tout le pays par des petites et moyennes compagnies. (comme il existe des petites et moyennes entreprises)
Ce sont des aventures humaines, des risques pris par des artistes et des bénévoles, qui lancent une idée, une compagnie ou un festival. Ce sont des personnes qui, jour après jour, effort après effort, créent autour d’un lieu, d’une histoire, les liens qui manquent cruellement à nos sociétés modernes. Et puis qui irait se balader à Belfort, Marciac, Lorient, Roquebrune sur argens, Carhaix-Plouguer, Avignon s’il n’y avait là des festivals qui ont osé se créer ?…

« Créer et rencontrer, innover et écouter, tisser des liens entre le réel et l’imaginaire, proposer des formes de spectacles variées et intéressantes, parler du monde, de ce monde. » – Emilie Revol
« Créer et rencontrer, innover et écouter, tisser des liens entre le réel et l’imaginaire, proposer des formes de spectacles variées et intéressantes, parler du monde, de ce monde. » – Emilie Revol

Émilie REVOL, présidente
« En presque 25 ans de métier, j’ai rencontré une vérité toute simple mais qui m’a échappé tant de temps : l’Art fait du bien. » – Benoît Kopniaeff
« En presque 25 ans de métier, j’ai rencontré une vérité toute simple mais qui m’a échappé tant de temps : l’Art fait du bien. » – Benoît Kopniaeff
Mot du metteur en scène
Je raconte des histoires. C’est ma profession de foi. Certains sont médecins, scientifiques, conduisent des engins, nourrissent ou logent les autres. Moi, je raconte des histoires. Du plus loin de mes souvenirs ; je raconte des histoires.
Des histoires qui sont vraies ou inventées, vraisemblables ou complètement farfelues. Je garde en mon for intérieur cet appétit de raconter le monde, de le décrypter, de l’imaginer. J’essaie à travers ces récits de comprendre mes compagnons de route êtres humains et de me comprendre moi-même. Je cherche les lieux de lumière de nos âmes et aussi nos parts d’ombre. Ce qu’il y a de mieux et ce qu’il y a de pire…


Benoît Kopniaeff
Mot du metteur en scène

Benoît Kopniaeff
